
Méthode de prévention du cancer du col de l’utérus
De cette manière, il sera possible d & apos; étendre l & apos; utilisation de cette méthode de prévention aux femmes qui ne sont pas en contact avec les services de maternité ou de santé procréative, mais qui fréquentent des établissements de santé, pour se soigner elles-mêmes pour d & apos; autres problèmes, ou parce qu & apos; elles accompagnent la consultation effectuée par d & apos; autres membres de la famille.
Bien que la proposition du programme national pour la prévention du cancer du col de l’utérus vise à ne pas manquer l’occasion d’attirer les femmes qui s’adressent aux centres de santé pour diverses raisons, offrant la réalisation d’un PAP, du programme des médecins communautaires, cette ligne de travail peut être complétée par la recherche active dans le domaine des familles et des personnes qui ont peu de contact avec les services de santé.
Étape 2 les perceptions socioculturelles des femmes
Ainsi, pour la tâche de l’équipe communautaire, la connaissance de cette stratégie est essentielle pour obtenir un recrutement adéquat de femmes d’âge pour participer au dépistage comme méthode de prévention du cancer du col de l’utérus. Dans un temps limité, en transmettant des idées simples et concrètes, tout membre d’une équipe de santé peut contribuer à améliorer la couverture de la population en favorisant l’accès au test PAP pour les femmes (entre 35 et 64 ans) qui ne l’ont jamais fait, ou qui ne l’ont pas fait depuis plus de 3 ans.
On s’attend à ce que le travail articulé et coordonné entre les membres de l’équipe de santé améliore la couverture et réduit l’incidence et la mortalité de cette maladie.
Le seul moment pour parler de la stratégie PAP proposée par le programme consiste en 5 étapes: renseigner, expliquer, rassurer, inviter et accompagner la femme dans chacune de ces étapes. Étape 1 Tout d’abord, le guide propose que les équipes de santé étudient les pratiques des femmes en relation avec le PAP, à travers 3 questions.
L’objectif est de détecter les femmes de plus de 35 ans qui n’ont jamais eu un test de PAP, ou qui ont eu plus de 3 ans. 53 quelques problèmes de santé complexes il est important de demander à la femme: 1-Quel âge a-t-elle? 2 – Avez-vous déjà eu un PAP? 3-quand lui as-tu fait ça pour la dernière fois? En gardant à l’esprit que si la femme a entre 35 et 64 ans, un PAP devrait être effectué si elle ne l’a pas fait depuis plus de 3 ans, et, si la femme a plus de 64 ans, un PAP devrait être effectué si elle ne l’a jamais fait.
Indépendamment de l’Âge, toute référence à un signe gynécologique ou à un symptôme détecté nécessite une consultation spécialisée. Étape 2 les perceptions socioculturelles des femmes au sujet du cancer du col de l’utérus et du test PAP peuvent les démotiver aux fins de consultation.
C’est pourquoi il s’agit d’un problème de santé
Certaines des raisons qui influencent les femmes à ne pas effectuer PAP comprennent: la perception que le PAP est seulement nécessaire pour les femmes qui sont en âge de procréer, et que les femmes plus âgées n’ont pas besoin de continuer les contrôles, la perception que le cancer du col de l’utérus n’est pas une maladie pertinente, la perception que le cancer du col Par conséquent, il est important d’expliquer aux femmes: que la probabilité de développer un cancer du col de l’utérus augmente à partir de l’âge de 35 ans, et que le risque maximum est concentré vers l’âge de 50 ans;
Même si la femme n’a plus de rapports sexuels ou est déjà ménopausée, que la fréquence recommandée pour 54 cours de santé sociale et communautaire utérus, et que cette façon peut être traitée à temps, avant que la maladie se développe. C’est pourquoi il s’agit d’un problème de santé facilement évitable. que si le résultat est anormal, dans la plupart des cas, il peut être traité avec une procédure simple et non invasive.
Étape 3 alors que le PAP est une procédure simple et indolore, beaucoup de femmes ne reçoivent pas PAP par peur de la douleur, ou par honte d’avoir à exposer le corps pendant la procédure. Beaucoup de femmes déclarent même se sentir mal à l’aise ou nerveux quand ils ont un PAP, et préfèrent une femme pour prendre l’échantillon.
Conseils pour expliquer à la femme
C’est pourquoi il est important de rassurer la femme en mentionnant: que la procédure PAP est simple, ne provoque pas de douleur et ne dure que quelques minutes, que s’il y a des possibilités dans l’institution, la femme peut choisir que le PAP soit pris par une femme, expliquer les manœuvres qui seront effectuées pendant la prise (car cela aide la femme à anticiper ce qui va se passer).
Conseils pour expliquer à la femme en quoi consiste le PAP: 1-Un petit appareil appelé spéculum est inséré dans le vagin. Un petit échantillon de cellules qui sont lâches dans l’écoulement du col de l’utérus ou de la matrice est extrait avec une spatule en bois. 3-les cellules sont dispersées sur un verre spécial appelé une diapositive. 4 – le verre est transféré dans un laboratoire, où les cellules sont observées au microscope pour voir qu’elles sont en bonne santé.
5-si les cellules ne sont pas en bonne santé, un médecin peut surveiller ou traiter la femme avant de tomber malade. 55 quelques problèmes de santé complexes il est toujours très important que les droits suivants des femmes soient garantis pour prendre PAP: à la vie privée et à la vie privée: “la porte du bureau doit rester fermée. “Il doit y avoir un espace privé où la femme peut changer (ou une pièce séparée, ou derrière un écran ou un rideau).
- “La civière doit être placée derrière un écran ou un rideau pour protéger la femme des regards extérieurs. Avoir libre accès à la consultation et à la mise en œuvre du PAP dans tous les centres de santé et hôpitaux publics du pays.
- Recevoir des informations dans un langage clair et précis sur le PAP et d’autres études à réaliser au cours de la consultation.
Pour recevoir les résultats du PAP dans les 30 jours de la pratique, même si le résultat est négatif. Gratuit dans tous les centres de santé publique et hôpitaux du pays. Étape 4 la faible couverture est souvent associée à des problèmes d’accès aux soins de santé pour les femmes (restriction de l’offre de temps des centres de santé pour la consultation gynécologique, par exemple).